Mardi 7 avril, jour 21

Bah.. ca y'est j'en ai marre !
ce matin, je vais continuer mes masques.. J'ai lavé des tissus pour pouvoir les utiliser. J'ai découpé pour en faire 4 mais ma machine me joue des tours... comme toujours !
Je casse 3 aiguilles en moins de 30 mn.. Ca commence à me gaver.
Je crois que je suis encore de mauvais humeur malgré le beau soleil dehors.
Et puis aujourd'hui, c'est corvée, c'est courses ! Je vais tester mon masque au moins !
Ce midi c'est côtes de porc et purée...Loupée ! En arrivant c'est côtes de porc et haricots verts.; c'est toujours la surprise.
Par contre, tous les midis, c'est salade de fruits. Je ne devrais pas, mais bon, c'est bon pour les vitamines.
A 14h, je la quitte pour les commissions. Et la préviens : vers 15h30, tu me rejoins dans mon jardin.
Il y a un peu de queue devant U, j'attends et dedans, ça va. Mon premier réflexe : farine ! Top, y'en a et j'en prends 3. 1 pour maman, 2 pour moi.
Je prends de quoi faire la torta. Je croise Patrick Zeff. Il me propose de me déposer mes courses les plus lourdes chez moi. Youpi ! Lait, patates et farine iront dans son caddie ! J'économise mon épaule.
A la caisse je bavarde un peu avec la caissière. Toute gentille.
15h30, j'arrive enfin chez moi. J'appelle maman. Elle vient de se réveiller et ne veut pas sortir. Je n'insiste pas. De toutes façons, ce soir j'y vais. Après tout.. j'ai besoin aussi de me retrouver aussi. Je vais pouvoir continuer ma couture. Mais c'était sans compter sur le fait que dans un premier temps, les aiguilles ont cassées et dans un second temps, c'est le fil qui se barre, qui casse. Je sais que c'est une question de tension, mais je n'arrive pas à le régler.
Sur le groupe de Beaulieu, une nana, caissière à U me propose de me donner des aiguilles. J'échange contre 2 photos. Je finis par m'impatienter par rapport à ce fil qui sort ou casse. J'en ai marre de renfiler tous les 3 cm. J'arrête et je verrai demain.
Mon appartement ressemble à un champs de bataille. J'ai honte ! Je manque de place pour mon bricolage. C'est indéniable.
Je vais monter vers 19h30 manger chez maman. Soupe, jambon. Ca ira.
Encore une journée écrite à posteriori. J'ai sans doute oublié certaines choses. J'y reviendrai peut être plus tard.


Commentaires

Articles les plus consultés